L’association Science Animation nous a sollicité pour réaliser deux portrait vidéo sur le thème du numérique. Alexia Audevart et Lily-Alice Ward nous parlent de leur métier. Retour sur le tournage vidéo de ce film.
Tournage vidéo : interview de deux professionnelles du numérique.
La vidéo au service de la pédagogie et de la science
L’association Science Animation, basée en Occitanie, travaille à la vulgarisation de la science pour un accès au plus grand nombre. Entre autres, ses missions consistent à créer des modules prêt à l’emploi pour l’enseignement de la science auprès des jeunes publics. C’est dans ce cadre que l’association a fait le choix de la vidéo comme support pédagogique. En effet, pour agrémenter un module sur le numérique, elle a souhaité donner la parole à deux professionnelles du digital. Objectif : prouver aux jeunes que le numérique n’est absolument pas réservé aux hommes.
Le format retenu pour ce film a été celui de l’interview. Retour sur le tournage vidéo.
Pour notre client, il était essentiel que la vidéo soit dynamique mais également franche. D’une part, il s’agissait de ne pas perdre le spectateur avec une interview longue et monotone. D’autre part, il était pertinent que les intervenantes s’adressent directement à la caméra pour plus d’intimité et donc de sincérité.
Finalement, nous avons opté pour un témoignage alterné des deux professionnelles. Par conséquent, le tournage vidéo s’est concentré d’abord sur une puis sur l’autre des intervenantes. Ainsi, une première caméra filmait fixement le visage de l’intéressée. Puis l’autre, installée sur un rail motorisé, captait la scène de plus loin.
Enfin, le tournage terminé, nous sommes passés au montage. Puisqu’il s’agissait de garantir la dynamique, nous nous sommes attachés à alterner savamment les plans et à intercaler les questions. Ce format, popularisé par Konbini, est très efficace pour faire passer des messages courts et impactants. Par exemple, cela permet de créer un contenu vidéo de plusieurs minutes sans images d’illustration (à l’inverse du reportage vidéo) sans pour autant lésiner sur le rythme.
Il y a 15 ans, qui aurait imaginé la place qu’allait prendre le média audiovisuel dans notre vie ? Qui aurait pu anticiper que Steve Chen, Chad Hurley et Jawed Karim, les trois amis qui fondèrent YouTube en 2005, allaient changer la donne ? Retour sur une petite révolution.
« Me at the zoo » est la première vidéo publiée sur la plateforme YouTube. A l’image, Jawed Karim, loin de se douter que cette visite au zoo de San Diego aller changer à jamais l’histoire de la vidéo.
L’audiovisuel avant le web, ça ressemblait à quoi ?
Avant que YouTube, Netflix, Instagram, Twitter et TikTok ne viennent bouleverser la manière dont on échangeait et consommait des vidéos, l’audiovisuel français se concentrait essentiellement sur deux écrans : le petit et le grand. D’une part la télévision privée et publique. D’autre part le cinéma.
Pour faire simple, la télévision privée serait financée par la publicité tandis que la publique le serait par l’impôt. De son côté, le cinéma serait financé en partie par l’argent public, et en partie par les chaînes qui achètent les films. Par conséquent, pour une entreprise ou une institution, envisager une campagne publicitaire vidéo impliquait alors une diffusion télé ou bien cinéma.
Bien qu’offrant d’excellents résultats, ce type d’action publicitaire restait hors budget pour un grand nombre d’entreprises françaises. Mais ça, c’était sans compter sur la révolution numérique…
Pour la fiction et le documentaire on a vu des acteurs comme Netflix, Amazon Prime ou Disney+ venir modifier nos habitudes ; pour les vidéos web, ce sont les réseaux sociaux tels que YouTube, Twitter, Instagram ou LinkedIn qui ont créé de nouveaux modes de consommation.
Internet et les écrans, les game changers de la vidéo
Depuis les années 2010, tout s’accélère. En effet, avec le haut-débit puis la fibre, la 4G et la multiplication des écrans, la consommation de vidéos explose. Emboitant le pas à Youtube, des réseaux sociaux comme Facebook, Instagram ou encore LinkedIn deviennent des plateformes phares pour échanger et visionner des vidéos. Ces acteurs du numérique constituent autant de nouveaux canaux de diffusion et de nouveaux formats pour les annonceurs.
J’aime poser la question suivante aux entrepreneurs que j’accompagne : Consommez-vous plus de vidéo aujourd’hui que vous ne le faisiez il y a 10 ans ? La réponse est systématiquement oui.
La révolution touche aussi le B2B, nombreux sont les professionnels qui consomment l’information sous forme de vidéo. LinkedIn, YouTube ou Twitter sont des plateformes de choix pour ces cibles.
Côté production, la révolution est avant tout technologique. On voit débarquer sur le marché du matériel plus petit, plus performant et sensiblement moins cher. En conséquence de cela, les coûts de production baissent drastiquement.
En définitive, on se retrouve aujourd’hui avec une consommation de vidéo plus importante, une myriade de canaux de diffusion et des coûts de production accessibles. Pour un film d’entreprise, le budget moyen est compris entre 2000 et 5000 €. A ce prix-là, la vidéo est devenu pour beaucoup d’entreprises un incontournable de leur stratégie de communication.
Et vous ? Quelle est la place de la vidéo au sein de votre stratégie de communication ?
L’Agence Régionale de la Santé d’Occitanie nous a confié la réalisation de 6 films institutionnels. En effet, l’ARS a fait le choix de la vidéo pour mettre en lumière les témoignages de 7 médecins installés en dans les territoires de la région. Retour sur le tournage.
Aperçu des territoires traversés durant le tournage, le plateau du Larzac, les Pyrénées et l’Aveyron
Un tournage 100% en Occitanie
L’ARS Occitanie souhaitait disposer de témoignages de médecins installés dans les territoires de la région. Ce projet s’inscrivait dans le cadre d’une journée d’information destinées aux étudiants intitulée #MédecinDemain. Pour ce faire, l’agence a sollicité 7 professionnels de santé installés dans 6 communes réparties sur le territoire occitan. Nous sommes donc partis sur les routes d’Occitanie pour les rencontrer et recueillir leurs témoignages en vidéo.
Notre périple nous a d’abord emmené dans le nord Aveyron, à la rencontre du Dr Gaulier, exerçant au sein de la MSP (Maison de Santé Pluriprofessionnelle) d’Argences. Ensuite nous avons traversé le plateau du Larzac pour nous rendre en Lozère. Là-bas, nous avons recueilli le témoignage du Dr Prunier, installée au sein d’une MSP à Florac. Puis nous avons continué dans le Tarn, où nous avions rendez-vous avec le Dr Raskopf qui est salarié du centre de santé Filieris à Carmaux. Notre voyage s’est poursuivi dans l’Hérault, à St-Pons-de-Thomières, puis dans les Pyrénées-Orientales à Font-Romeu. Et enfin, nous nous sommes rendus dans le Lot, où nous avons pu réaliser un reportage vidéo sur deux praticiennes installées dans le Grand Figeac.
Pour l’équipe d’Artigas Films, ce tournage a été extrêmement riche tant de par les rencontres faites que par les territoires parcourus.
L’ARS nous a demandé de réaliser des témoignages vidéo sans être nécessairement arrêtés sur un format particulier. Afin de répondre au mieux à leur besoin, nous avons proposé à l’agence de compléter les interviews des praticiens par des images d’illustrations. C’est-à-dire que nous nous proposions de suivre chaque professionnel de santé pendant quelques heures afin de recueillir des images susceptibles d’illustrer ses propos. Ainsi, nous avons pu les filmer en train de réaliser des actes médicaux, des consultations, des échographies ainsi qu’en train d’échanger avec leurs pairs et le personnel médical des MSP.
Ce format, appelé reportage vidéo, reprend les codes journalistiques et permet d’avoir une perspective proche du réel. Cet aspect a su convaincre l’ARS de la pertinence du format.
Les 7 témoignages recueillis ont été publiés individuellement sur le site de l’Agence Régionale de Santé Occitanie. Mais nous avons également réalisé un montage compilant touts les reportages. Ce choix audiovisuel permet d’avoir une vue d’ensemble sur l’exercice médial en territoire rural occitan.
Céline Albert et Marie Desitter sous le pinceau d’Aurélie Garnier
La production audiovisuelle rencontre l’illustration
Le bailleur social Patrimoine a souhaité réaliser deux vidéos pour présenter des projets d’habitat innovants. Bien qu’habitué à utiliser la vidéo pour communiquer sur ses projets, il devait cette fois-ci répondre à une problématique particulière : Comment mettre en avant un modèle d’habitat qui n’existe pas encore ? La réponse a été apportée par l’illustratrice Aurélie Garnier. En effet, cette dernière a su proposer, à travers l’illustration, un univers graphique. Et c’est grâce à ces projections d’artistes que le bailleur toulousain a pu présenter ses projets Co’Coon et Les CoHabitants.
La méthodologie souhaitée par le client peut se résumer en trois étapes. Premièrement, nous avons réalisé une série d’interviews vidéo des chargées de projet. Deuxièmement, Aurélie Garnier a créé des portraits animés à partir des interviews ainsi que des illustrations animées mettant en scène des résidents. Enfin, nous avons assemblé les pièces du puzzle lors du montage, associant la bande son des interviews et les créations graphiques.
Illustrations des projets Co’Coon et Les CoHabitants par Aurélie Garnier
Découvrez cette production audiovisuelle présentant deux projets innovant d’habitat social :
Le video content, ou contenu vidéo en français, serait-il le contenu web par excellence ? Ou bien est-ce un simple effet de mode ? Décryptage.
Le contenu est roi, mais la vidéo est-elle la reine des contenus ?
Le « contenu » c’est quoi ?
Ce mot est sur les lèvres de tous les communicants. Du « contenu » par-ci, une « stratégie de contenu » par là, ou encore « il nous faut booster notre production de contenus ». Bill Gate le prédisait déjà en 1996 « Content is king », le contenu est roi.
Ok, mais le contenu au juste qu’est-ce que c’est ?
On peut imaginer le contenu comme le fruit d’une production éditoriale. C’est un élément qui fait l’objet d’une écriture, d’une réflexion qui s’inscrit dans une stratégie globale. Et il peut prendre plusieurs formes. Par exemple, il peut s’agir de texte, d’images ou encore de vidéos. Par ailleurs, le « content » doit avoir un objectif. Entre autres, il peut viser à augmenter la notoriété d’une marque, accroître le nombre d’entrées sur un site web, générer du traffic, du lead, des backlinks, améliorer le référencement… Bref, la création d’un contenu doit engranger un ROI clair. Action, réaction.
L’analogie avec la pensée éditoriale permet de comprendre plus facilement l’idée de contenu. En effet, à l’ère digitale, une marque doit se comporter comme un média le ferait avec ses son public : offrir de l’information ! Et oui, visiteurs, followers, abonnés… nous sommes tous devenus des consommateurs d’information au quotidien. L’idée de communauté en attente de nouvelles est plus que jamais réelle. Bien plus qu’elle ne l’était en 96 lors de la fameuse phrase du patron de Microsoft.
Pourquoi le video content a la côte ?
Miniaturisation, amélioration de la technique, baisse des coûts… la production audiovisuelle n’a jamais été aussi accessible pour les entreprises. Aujourd’hui, une PME peut s’offrir des produits vidéo très aboutis pour un budget plus que raisonnable et peut même créer de petits contenus « homemade » avec un simple téléphone portable. Mais pour autant, est-ce un contenu de choix ?
S’il y a clairement un effet mode, qui va de pair avec l’augmentation forte et récente de la consommation de vidéo via internet par les clients, cela ne semble pas être une tendance éphémère.
De fait, depuis l’invention du cinéma jusqu’à l’implémentation de la 5G, l’histoire de l’information a offert une place chaque fois plus importante au média audiovisuel. Et si la vidéo est un allié prépondérant de l’information c’est parce qu’une image vaut mille mots et qu’une vidéo c’est 24 images par secondes… Avec le du son en prime !
Une information, concernant sa marque, présentée de manière attractive, et des centaines voire des milliers de destinataires. Le calcul est bon. Et Google le sait, et Google aime ça. Voilà pourquoi les stratégies de SEO sont friandes des contenus vidéo. On peut donc légitimement se poser la question suivante : Si le contenu est roi, la vidéo est-elle la reine des contenus ? Chez Artigas, on penche plutôt pour un oui !
Dans le cadre de sa stratégie de communication, notre client Robotics Place nous a commandé une série de portraits vidéos pour présenter ses membres. Le choix de l’interview vidéo courte a été retenue. Découvrez le témoignage de Luc Truntzler, directeur d’Inbenta France.
L’intelligence artificielle et le langage
« Je suis Luc Truntzler, je suis directeur d’Inbenta France. C’est une société spécialisée dans une discipline de l’intelligence artificielle, qui est le traitement automatique du langage. Il s’agit de cette capacité pour la machine de comprendre et de traiter le son des phrases, le langage humain. On est une PME d’une trentaine de personnes, basée à Montauban.
Notre métier chez Inbenta, à travers cette discipline de l’IA qu’est le traitement automatique du langage, c’est de développer des bots. C’est à dire, des solutions qui vont avoir pour objectif de répondre automatiquement et immédiatement aux questions des utilisateurs. Et cela, quelque soit les canaux. Ça peut être sur le téléphone, on va parler de call bots. Ou bien, sur les mails, on va parler de mail bots. Aussi sur internet, on va parler de chatbot. Ou encore, sur sms, smsbot. On peut imaginer botiser n’importe quel type de canal.
Qu’est-ce que Robotics Place pour Inbenta ? C’est l’opportunité de pouvoir botiser encore d’autres canaux. Notamment, les robots, les humanoïdes. On est rentrés dans le cluster Robotics Places pour essayer de rencontrer des partenaires sur la partie hardware, robotique. Et ce afin de pouvoir doter des humanoïdes, des robots de service, de la technologie Inbenta pour que ce dernier puisse avoir des conversations en langage naturel avec des humains. »
On peut voir l’interview vidéo comme pitch devant un public
L’interview vidéo au service de la communication
A l’ère du tout vidéo, l’interview représente un élément clef indispensable à toute stratégie de communication.
En effet, ce format court, facile à mettre en oeuvre présente plusieurs avantages. Premièrement, il est simple et peu onéreux à réaliser. Deuxièmement, à la différence d’un texte, il offre la possibilité de mettre un visage sur l’intervenant. Enfin, troisièmement, il permet de faire passer de nombreuses informations en un temps record.
En plus des informations factuelles qui sont communiquées plus rapidement par la voix que par le texte, l’interview nous permet de travailler la communication non-verbale. A la différence de l’écrit, ici on peut voir le visage et le corps de l’interlocuteur.
Sa gestuelle, son regard, ses expressions faciales sont autant de leviers de communication. Ce n’est ni plus ni moins qu’un face à face, un moment privilégié où vous pouvez vous adresser à votre audience comme vous le feriez lors d’une présentation. 600 vues, c’est une salle de 600 personnes. Autant vous dire que la valeur ajoutée est considérable.
En décembre 2018, nous avons réalisé, pour le compte du cluster régional Robotics Place, une vidéo du spécialiste de l’industrie électronique et des procédés mécaniques de la région. La société SEMO conçoit et fabrique des équipements automatisés. Sébastien Nobiron, son président, nous parle de son métier et du marché de la robotique en Occitanie.
Le spécialiste de l’industrie électronique répond à nos questions
Pouvez-vous nous présenter SEMO ?
« SEMO est un concepteur et constructeur de moyens de production, automatisés et robotisés. La société a été créée il y a plus de 45 ans par des compagnons du devoir, on est localisés à Cornebarrieu, près de Toulouse. Et nous sommes une équipe de 35 personnes environ. »
Quel est votre métier, chez SEMO ?
« On a plusieurs offres, 4 au total. Tout d’abord, nous assurons la conception et fabrication de machines spéciales. Deuxièmement, nous nous chargeons de l’intégration de robots industriels. Troisièmement, de la conception et construction de solutions pour l’intégration de produits électroniques. Et enfin, quatrièmement, notre offre s’étend aux feeders pour les machines de placement de composants. »
Pour vous que représente Robotics Place ?
« Pour moi Robotics Place c’est le moyen de promouvoir la robotique dans le région et de rassembler ses acteurs à intervalles réguliers. »
Le choix de la vidéo pour mettre en avant les membres du clusters
Notre client a choisi de nous confier la réalisation d’interviews vidéos pour mettre à l’honneur ses membres. Un choix motivé par la facilité de diffusion du média audiovisuel sur la toile. En effet, pour une stratégie de contenu efficace, le média vidéo est aujourd’hui essentiel.
Un grand merci à notre client pour sa confiance et au spécialiste de l’industrie électronique de s’être prêté au jeu de l’interview.
En 2018 le cluster Robotics Place nous demandait d’utiliser l’interview vidéo pour mettre à l’honneur les membres qui qui le souhaiterait. Spécialisé dans la fabrication de robots, découvrez l’interview vidéo de Benjamin Talon, président de TwinswHeel.
Le président de TwinswHeels raconte
« Notre société est spécialisée dans le développement, la conception et la fabrication de robots destinés à la logistique. On a plusieurs types de logistique, la première qu’on adresse c’est celle des entreprises, dans les grands entrepôts, dans les grandes usines. On fabrique des petits robots qu’on appelle des droids, c’est des véhicules autonomes qui vont rouler dans les usines, et qui vont transporter des charges, notamment sur les chaînes approvisionnement dans les grandes fabriques de construction. Également, on va les retrouver dans le logistique plus classique pour l’approvisionnement, ou des choses de ce type-là.
Ça c’est la première partie de la logistique que l’on adresse. La deuxième partie de la la logistique sur laquelle on est présents c’est tout ce qui va être la livraison du dernier kilomètre. Typiquement vous faites vos courses dans un magasin, le robot vous suit dans le magasin et va vous suivre jusque chez vous pour transporter les courses. Ça c’est un cas d’usage, collaboratif. Et enfin, on a un cas d’usage qui est purement autonome où vous faites vos courses sur internet, par exemple, et le robot va venir vous livrer en bas de chez vous, les composants que vous avez achetés sur internet. »
Un cluster au service de la robotique régionale
Notre client joue un rôle central dans l’économie du territoire. En effet, le cluster Robotics Place regroupe des acteurs de l’industrie robotique en Occitanie et offre un cadre à une approche collective du marché.
Situé au nord-ouest de la région, Twinswheel est implanté à Cahors, dans le Lot. Il conçoit et usine des droids autonomes destinés à faciliter le transport et la livraison de biens.
Afin de présenter ses membres, notre client a souhaité privilégier le média audiovisuel. D’une part l’interview vidéo permet de recueillir efficacement et rapidement des témoignages de membres. D’autres parts, elle permet de mettre un visage et une voix sur les différentes entreprises qui font parti du groupement.
De plus, la personne qui visionne dispose de toutes les informations essentielles en moins de 3 minutes. Simple et rapide.
Envie de poussez la porte du home office de Léa Jamelot tout en prenant un petit cours sur le contenu de marque ? Ça tombe bien, Artigas Films vous invite à découvrir comment KERHIS s’est adapté à cette période de confinement.
Une mini-série vidéo business toulousaine
L’éditeur breton de progiciels de gestion intégrée pour les filières agricoles est un maillon essentiel de la production agricole française. Par conséquent, s’adapter au changement imposé par la crise du coronavirus est un enjeu primordial.
Léa Jamelot, chargée de communication, nous montre les coulisses de son confinement. Par ailleurs, elle nous livre quelques secrets pour garder la forme et le moral a bloc… n’est pas Breton qui veut !
En quoi est-ce du contenu de marque ?
« Le Home Office de » est une mini-série de vidéos en auto-interview proposée par Artigas Films en cette période de confinement. Taillées pour LinkedIn et Facebook, elles sont un exemple parfait de contenu de marque, tant pour Artigas Films que pour KERHIS. En effet, l’idée est tout simplement de livrer un court contenu vidéo sur le modèle question/réponse, alternant entre un ton sérieux et un ton décalé. C’est un contenu relativement light mais facile à produire. Cela en fait un produit parfait pour intégrer dans une stratégie de contenu de marque… C’est d’ailleurs ce qu’à fait Artigas Films 🙂
Aujourd’hui je vous dis tout, c’est promis ! Vous saurez tout sur le témoignage client sous forme de vidéo. Mais dans un premier temps nous allons voir ensemble pourquoi il essentiel d’avoir une stratégie de contenu (aussi appelée stratégie de marque). Ensuite nous verrons les avantages qu’il y a à employer la vidéo dans votre stratégie de brand content (variante angliciste). Et enfin nous aborderons le fameux format du témoignage client vidéo.
Laurent Moussinac, directeur d’Artigas Films en train de réaliser une interview
De l’importance de développer une stratégie de contenu
Le contenu, qu’est-ce que c’est ? Et bien le meilleur exemple que je puisse vous donner c’est l’article que vous êtes en train de lire ! En effet, en tant que marque, Artigas Films se dote d’une stratégie de contenu. Régulièrement, son fondateur (c’est moi) publie des articles sur le blog du site de l’entreprise. Ces publications ont trois objectifs.
Tout d’abord, il s’agit pour moi de partager de l’information avec la communauté qui me suit, de mettre à disposition de mes abonnés LinkedIn, clients, futurs clients ou simples visiteurs des astuces, conseils et bonnes pratiques. Ainsi, j’offre, tel un média, un service d’information gratuit qui augmente ma visibilité sur la toile et ma notoriété au sein du réseau.
Le deuxième objectif est de générer du trafic sur mon site web. En effet, cet article partagé sur les réseau est une porte d’entrée supplémentaire vers ma page web.
Et le dernier objectif, améliorer mon référencement Google. Et oui Google adoooooore le contenu et il nous le rend bien. Mais alors pourquoi la vidéo est si intéressante dans votre stratégie de contenu ?
Le moteur de recherche roi
Le choix de la vidéo dans votre stratégie de marque
Je vous ai donné l’exemple de cet article mais bien entendu il existe de nombreux types de contenus comme peuvent l’être la photo ou la vidéo. Mais soyons honnêtes, la vidéo tire bien son épingle du jeu, et cela pour trois raisons.
Premièrement, le contenu vidéo peut revêtir un caractère viral sur les réseaux sociaux, ou du moins peut bénéficier d’une forte mise en avant (sponsoriser ce type de publications est néanmoins souvent nécessaire, ne l’oubliez pas). En effet, les plateformes comme Linkedin, Facebook, Instagram et compagnie ont tendance à offrir une plus grande visibilité à ce type de contenus. Rappelez-vous, ce contenu est une porte vers votre site internet…
Deuxièmement, la quantité d’information par minute que vous pouvez mettre dans une vidéo est sans commune mesure à celle contenue dans un tweet, un article, voire même une photo. On dit qu’une image vaut mille mots… imaginez une vidéo !
Troisièmement, encore et toujours le référencement… Google sait que la vidéo est contenu de choix et il va en tenir compte dans sa manière de référencer votre site. Une page qui contient une vidéo c’est une page qui va avoir une meilleure côte pour les petits robots du moteur de recherche roi. Et puis, très concrètement, un visiteur qui visionne une vidéo de 3 minutes sur votre site, c’est un visiteur qui reste 3 minutes sur votre site… et ça c’est plutôt bon !
Silence demandé, moteur, ça tourne, action !
Le témoignage client vidéo, un format simple et efficace
Mais pourquoi insiste-t-il autant avec le témoignage client ? C’est vrai après tout, il existe mille autres formats de contenu vidéo (le tutoriel, le film de présentation corporate, la vidéo publicitaire etc.).
Mon goût pour le format témoignage client vient d’un constat simple. On vit dans une société de recommandation. Avant d’aller au resto, vous aimez lire les avis clients, et avant de faire appel à un prestataire vidéo comme Artigas Films, vous serez tenté de regarder ses références et les avis laissés par ses clients sur sa fiche Google.
Partant de ce postulat, avant d’investir des milliers, des centaines de milliers voire des millions d’euros dans une solution, vous aurez peut-être envie d’entendre de vive voix les clients qui ont fait confiance à telle ou telle entreprise vous livrer leur témoignage, parler de leur expérience client. Cela est d’autant plus nécessaire dans le tertiaire où il n’est toujours évident de « montrer » ce que l’on commercialise.
Et le petit plus ? C’est un format vidéo relativement simple et peu coûteux à réaliser (par rapport à une publicité, par exemple). Et c’est un format qui va mettre à l’honneur votre client, puisque vous allez tourner le film chez lui… cette collaboration peut venir consolider les liens préexistant entre prestataire et client !
En conclusion, le témoignage client vidéo est un format simple à mettre en place, avec un excellent ROI. Voilà pourquoi chez Artigas Films on vous le recommande chaudement ! Et comme promis, vous savez tout 🙂
Voici un exemple de témoignage client réalisé par Artigas Films pour le compte de Kiamo :